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Dernière mise à jour : 16 avr. 2022

Par Marie-Stéphane SANCHEZ.


En Amérique Centrale, le colibri symbolise l'âme humaine soumise à ses combats intérieurs, sûrement à cause de la légèreté de son vol, peut-être aussi à cause de ses déplacements en avant et arrière, images des hésitations qui parcourent nos chemins de vie. Tout le monde a quelque chose à dire !



Tout ce que vous avez à dire peut intéresser un lecteur, puisque ce dernier est a priori un découvreur, une personne ouverte vers l'inconnu. Mais c'est la manière de le dire qui va faire la qualité et l'originalité de l'oeuvre. Vous devez trouvez une idée pour présenter, dans la forme ou le fond, ce que vous avez à dire de manière attractive.


Mais, votre personnalité déteignant sur votre production, cette dernière ne pourra jamais plaire à tout le monde !
Lancez-vous dans un style qu'il vous plaît de rédiger !


Lorsque vous commencez la rédaction de votre livre, vous n'avez pas forcément clairement dans la tête tout le plan et la logique de l'intrigue. Si vous écrivez un poème, la chute s'impose souvent d'elle-même lorsque vous attaquez les derniers vers. Mais dans une oeuvre plus longue, ce que vous avez à dire devra néanmoins tôt ou tard être un minimum ordonnancé à l'aide d'un plan ou d'un répertoire des personnages et évènements du scénario. Il faut bannir l'illogisme et les erreurs informationnelles !


Cela se fait naturellement, car vous faites déjà corps avec votre oeuvre !

Ce que vous avez à dire devra également être rythmé pour captiver le lecteur. Lorsque vous avez une vue d'ensemble du scénario et de l'ordonnancement des différents chapitres, pensez à introduire des éléments perturbateurs, du suspens, un style plus rapide ou une surprise de dernière minute !




Dernière mise à jour : 16 avr. 2022

Par Marie-Stéphane SANCHEZ.


Aujourd'hui, les conditions de vie des êtres humains s'éloignent de plus en plus de celles qui lui sont nécessaires pour répondre aux aspirations de leurs âmes. Il ne s'agit pas là que de prétendre au bonheur. Il s'agit de l'adéquation entre besoins vitaux ou de l'esprit et réalité vécue.


L'intelligence artificielle qui va nous régir et peut-être nous envahir corporellement est déjà une réalité ; c'est ce dont témoignent ceux qui en sont aujourd'hui les protagonistes et les organisateurs. Il faut aussi avoir à l'esprit que l'avancement de la technologie qui nous est proposée, quel qu'en soit le domaine, est bien plus avancée que ce que nous en voyons. Lorsque l'on propose au public des mini-caméras pouvant être introduites dans nos corps, ou une souris d'ordinateur, ce savoir-faire est déjà opérationnel depuis au moins cinquante ans dans certaines sphères de notre société.

Bien que religieux, diront certains, l'homme est avant tout un animal qui trouve sa place dans la classification scientifique des êtres vivants, avec son métabolisme de base et des besoins vitaux pour son épanouissement. Si de telles nécessités ne sont pas réalisées, l'être humain est perturbé. Il ne se trouve pas forcément en haut de la chaîne alimentaire comme on nous le laisse croire trop souvent et sa vie n'est pas un long fleuve tranquille. Parmi le genre humain, les civilisations dites avancées ne sont pas plus intelligentes ou sages que les tribus qui tentent de survivre sur la planète.

Il s'agit en vérité d'une certaine forme d'intelligence liée aux choses techniques, dont on nous fait croire qu'elles sont indispensables, voire vitales. La technique n'est pas vitale pour l'homme et les tribus vivant en autarcie sont bien plus heureuses et ont un mode de vie bien plus sécuritaire que le nôtre, pour peu que nous ne le leur détruisions pas.


L'homme respectant les lois naturelles a plus de sagesse et détient une intelligence bien plus utile et saine que la nôtre. Avant que de savoir manipuler avec brio un i-phone, il est préférable de savoir cultiver et se nourrir ou langer son enfant en le regardant dans les yeux. Ces simples vérités sont aujourd'hui dénigrées et de telles lacunes en rattrapperont les détenteurs.


Partant de ce constat, que l'homme moderne est insidieusement et volontairement coupé du mode de vie traditionnel qui l'épanouit, il faut bien avouer que la quantité d'êtres souffrants, d'êtres atteints de folie ou de dérangements mentaux augmente ; et cela ne va sans doute pas décroître.


Face à cette distorsion de notre condition, l'homme va sans doute répondre, ou du moins se libérer de ses émotions, par une expression créatrice qui peut être l'écriture. Aujourd'hui on le voit avec le succès de différents plateformes d'auto-édition ; chacun est heureux d'écrire, même s'il n'est pas publié et lu autre part que dans un cercle familial ou de proches. Ceux qui n'auront pas cet exutoire de la création subiront peut-être plus douloureusement que les autres nos futures conditions de vie. Ces dernières sont à découvrir notamment à travers la lecture d'informations et de romans d'anticipation.


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